vendredi 10 septembre 2010

Je trouve que "faire la fête" constitue une partie intégrante du travail. Avec mon ami, j'ai fait une croisière sur la Méditerranée. Le soir, c'était la fête sur le pont arrière.

Je pose ce texte exprès sur lm page pédagogique car ce côté festival me semble complètement manquer dans mon établissement universitaire, auprès des étudiants. Soit ce côté hédoniste n'existe pas ; soit je suis, en tant qu'enseignant, trop loin de la vie des étudiants. Mon rôle n'est certes pas de m’immiscer dans leur vie privée. Mais dans les deux cas, je regrette ce côté festif ne se manifeste pas davantage dans la vie de l'établissement. Car comment assurer un travail de bonne qualité, de haut niveau sans faire aussi la fête ? Je ne suis pas convaincu que l'influence piétiste de notre formation d'enseignant, très présente à travers des modèles comme Francke, Herbart, Schleiermacher, Pestalozzi, etc. soit vraiment le modèle de vie à suivre…